Date d'arrivée : 20/02/2016 Ton anniversaire c'est le : 28/03/1989 Tweets envoyés sur la toile : 70 On dis que je ressemble à : matt daddario. Je crédite : Hepburns.
Sujet: the joys of a roommate w/ annalynne Lun 7 Mar - 11:11
Sujet: Re: the joys of a roommate w/ annalynne Lun 7 Mar - 11:54
Les joies de la colocation
❝ Two households, both alike in dignity, In fair Verona, where we lay our scene, From ancient grudge break to new mutiny, Where civil blood makes civil hands unclean. From forth the fatal loins of these two foes, A pair of star-cross'd lovers take their life, Whose misadventured piteous overthrows, Do with their death bury their parents' strife. ❞
Je n'aurais jamais cru qu'un jour je vivrais dans un appartement en plein coeur de Manhattan, le quartier le plus chic de la ville, mais je ne vivais pas vraiment seule, puisqu'il s'agissait d'une colocation, au total nous étions cinq, dont ma super cousine, Arielle. Cela faisais un moment déjà qu'on vivais tous dans cet appartement, suffisamment grand pour y accueillir cinq jeunes adultes, mais bien au dessus de mes moyens si j'avais dût y vivre seule, fallait dire aussi que ma famille n'avais jamais vraiment été particulièrement fortunée, on n'était pas vraiment pauvre non plus, a vrai dire nous n'avions jamais manqué de rien, après tout quand on est cinq enfants, il faut tout de même avoir certains moyens, nous ne devions juste pas en abuser et nous le faisions très bien, nous avions tous toujours été responsable, sauf mon petit-frère, mais mes soeurs et moi faisions tout pour l'aider, quoi qu'il puisse arriver, parce qu'une famille se soutient, même dans les moments les plus difficiles qui soient, parce que c'est ce qu'on fait quand on est une famille. Il était encore tôt, mais je devais me lever, car même si aujourd'hui je n'avais pas cours, j'avais décroché un contrat de mannequinat, ou je devrais poser pour un catalogue de lingerie, ce que je n'avais encore jamais fait jusqu'à présent, non pas que je sois pudique ou je ne sais quoi, mais l'occasion ne s'était tout simplement pas encore présenté jusqu'à aujourd'hui, certes, j'avais quelques craintes, notamment sur la tête que ferrais Mark quand il le saurais, nous n'étions pas un couple, se dont je rêvais soit dit en passant, mais pour cela, je devais encore lui avouer ce que je ressentait et pour le moment je n'en avait encore pas trouver, ni l'occasion, ni même le bon moment, mais j'espérais sincèrement pouvoir lui parler et lui avouer tout ce que je ressentait pour le jeune homme qu'elle avait rencontré à la fac. Je soupirais un bon coup, avant de me diriger vers la salle de bain pour prendre une bonne douche, m'habiller et prendre mon petit-déjeuner avant de partir pour le travail et m'occuper de mon nouveau shooting photo, ensuite je devais passer à la boutique de Kate afin de l'aider un peu, puisqu'elle était la seule a s'en occuper, du coup, nous lui donnions un coup de main dès qu'on en aurais l'occasion, après une bonne vingtaine de minutes, je sors de la salle de bain puis me dirige vers la cuisine ou tu te trouvais, seulement, je ne m'attendais en aucun cas à te faire peur "Désolée, je ne pensais pas que je te ferrais peur à se point Natie" te répondit-je avec un léger sourire collé sur mes fines lèvres coloré de rouge, comme à chaque fois.
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Nathan W. Jefferson
Date d'arrivée : 20/02/2016 Ton anniversaire c'est le : 28/03/1989 Tweets envoyés sur la toile : 70 On dis que je ressemble à : matt daddario. Je crédite : Hepburns.
Sujet: Re: the joys of a roommate w/ annalynne Sam 12 Mar - 14:30
the joys of a roommate. #nathannaTu avais été chanceux de tomber sur des personnes qui avaient pu voulu de toi comme colocataire. Lorsque t’es parents t’avaient jeté à la porte de chez eux, tu t’étais retrouvé à la rue, sans sous. Du coup, tu avais appris la dure loi de vivre dans une voiture et ce n’était guère appréciable. Certes, tu avais pu trouver un petit boulot mais tu ne gagnais pas assez pour financer un loyer complet. Du moins pas dans un quartier calme, oui tu aurais pu vivre dans un des quartiers pauvres où tu risquais de te faire tuer à chaque sortie, mais tu avais refusé préférant le confort de ta banquette arrière. Tu n’étais pas fou, tu voulais rester en vie. Puis la providence t’avait fait croiser la route de tes différents colocataires. Par chance, tu t’étais bien entendu avec eux. Même si aujourd’hui, l’une d’elles avait bien failli te faire mourir d’une crise cardiaque. C’était souvent ça quand tu te retrouvais plongé dans tes pensées et que d’un coup, on surgissait devant toi. Tu te passas une main dans les cheveux avant de sourire à ses paroles. Au moins, tu n’avais pas crié, c’était déjà un bon point. Sinon bonjour al honte, tu pouvais avoir l’air très viril quand tu avais peur – ironique quand tu nous tiens.