Maxine Marsh

Bonjour, je m'appelle maxine marsh, mais on me surnomme  max. J'ai actuellement  24 ans, car je suis née le   xx / xx / 1991 à  new-york et je suis nationalité au choix. Il m'arrive parfois de faire quelque chose de ma vie et si je ne suis pas entrain de une passion, je suis métier. Si vous voulez tous savoir je suis assez riche, vu que je n'ai aucun secret pour toi, tu peux aussi savoir que je suis  hétérosexuelle et je suis  amoureuse mais c'est compliqué. néanmoins, elle peut être en couple avec quelqu'un d'autre ce qui déclenchera sûrement de la jalousie chez le brun quand il l'apprendra   . On me dit souvent que je ressemble à holland roden Je suis dans le groupe des  nom du groupe au choix

Maxine et toi, c’est une histoire depuis l’enfance. Tu étais âgé de dix ans quand tu la rencontras. En effet, sa mère est – ou l’est toujours – la secrétaire de ton père et étrangement il l’avait invité à diner un soir avec son mari et sa famille. Cela t’avait paru étrange, après tout l’ancienne n’avait jamais franchi la porte de chez toi. Mais à cet âge là, tu étais bien trop aveugle pour te rendre compte d’un souci. Elle et toi vous devinrent proches, peut-être trop proches. Tu t’étais autoproclamé protecteur et quiconque l’embêtait avait affaire à toi. Mais c’est bien connu à force de rester ensemble, l’amitié que tu ressentais pour elle se changea en quelque chose que tu ne pus contrôler.

Entre les étreintes qui duraient et les baisers que tu déposais dans son cou, il fallait être aveugle pour ne pas voir le lien qui vous unissait. Tu l’avais toujours considéré comme ta petite sœur jusqu’à tes seize ans. Tu sortais d’une fête un peu trop arrosé et au lieu de rentrer chez toi, tu t’étais dirigé vers sa maison. Comme dans les films les plus pittoresques que tu détestais regarder, tu avais lancé des cailloux à sa fenêtre jusqu’à ce qu’elle t’ouvre et qu’elle te fasse rentrer. Elle ne comprit pas toute suite ce qu’il t’amenait chez elle en pleine nuit jusqu’à ce que tu l’embrasses. Elle n’avait que quatorze ans à l’époque mais bien trop alcoolisé, tu n’y pensais même pas. La déshabillant, tu lui pris sa première fois. Contrairement aux autres filles que tu avais pu avoir dans tes draps, avec elle, tu te montras doux et patient. Tu prenais ton temps ne te lassant guère de ses soupirs de plaisirs.

Mais toute bonne chose a une fin et le réveil fut un peu plus douloureux. Tu te réveillas dans son lit, un bras autour de sa taille alors qu’elle avait sa tête posée sur ton torse. Tu avais l’impression que tout tournait et quand les souvenirs revinrent à la surface, tu l’écartas doucement. Tu voulais prendre la fuite le plus vite possible. Tu t’étais toujours promis de ne pas la toucher. C’était Maxine. Tu étais connu comme étant un beau salopard avec les filles et même si elle t’attirait, tu n’avais pas le droit de faire ça. Les remords te tordirent l’estomac et avant de sortir par la fenêtre, tu lui écrivis un rapide désolé.

Tout aurait pu s’arrêter là mais elle vint te voir, te réclamant des explications en pleurs. Une dispute éclata entre vous deux et tu ne sais pas pourquoi ni comment mais ce fut à ce moment que tu lui hurlas que tu l’aimais. C’était la première fois que tu le disais que ce soit à elle ou à une autre. Il n’y avait eu qu’elle d’important de toute façon. Elle fut surprise, croyant d’abord à une blague mais elle te connaissait mieux que personne et elle s’approcha de toi, te répondant que c’était réciproque.

Tu sortis avec elle pendant quatre ans, quatre ans c’est un miracle pour toi. Jusqu’à ce que tout dérape. Tu avais commencé à fréquenter de mauvaises personnes. Voulant oublier ce père dominateur qui faisait de ta vie un enfer, tu allais de fête en fête. Maxine acceptait même si elle essayait d’être présente pour toi mais à chaque fois, tu la repoussais lui brisant le cœur peu à peu. Mais ce qui l’acheva fut lorsque tu lui annonças que tu l’avais trompé, une fête un peu trop arrosé et où tu avais été un peu chouté t’avait retourné le cerveau et tu t’étais retrouvé dans le lit d’une autre personne. Elle te gifla t’insultant de tous les noms. Tu le méritais, tu le savais.

Depuis ce jour, vous ne vous êtes plus reparlés. Elle a appris par sa mère que tu avais arrêtée tes cours de droit et même si elle t’en voulait encore, elle était contente que tu aies enfin pris de l’assurance. Elle apprit également que ta famille t’avait renié et c’est ce qui  la poussa à te rechercher. Elle voulait s’assurer que tu ailles bien sauf qu’elle te retrouva en charmante compagnie. Manque de chance, toi trop saoul, tu ne l’avais même pas vu. Dommage, tu as encore loupé ta chance. Tu ne l’as pas oublié cette petite rousse mais tu es bien trop fier pour aller la voir. Tu as peur de t’attacher de nouveau et de tout faire rater une seconde fois…

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